Pierre Pouchairet

Dédicacera ses livres à la bibliothèque de Penmarc’h

Le samedi 25 février aux heures de permanence de la bibliothèque de 16 h 30 à 18 h.

Dont le livre « MORTELS TRAFICS »

Qui a reçu le Prix du Quai des Orfèvres 2017

et le livre « UNE TERRE PAS SI SAINTE »

 

Editions Fayard, 2016
Le roman met en scène deux flics très différents.
D’un côté Patrick, commandant, chef de groupe au sein de la brigade criminelle du 36 quai des Orfèvres. Il enquête avec son équipe sur le meurtre de deux jeunes enfants découverts assassinés dans une chambre de l’hôpital Necker à Paris.
De l’autre Léanne, chef des stups à la PJ de Nice, elle s’apprête à un intercepter à Perpignan une équipe de trafiquants de drogue qui convoient depuis le sud de l’Espagne de la résine de cannabis et de la cocaïne destinées à la Côte d’Azur et à la région parisienne.
Très vite, les deux affaires vont se mêler et Patrick va devoir rejoindre Léanne avec laquelle il espère arrêter les tueurs qu’il recherche.
L’enquête va les mener de Carcassonne à Nice, puis à Paris, en passant par Malaga et se terminera au Maroc.
Cet écrit joue sur les difficultés que ces deux flics atypiques, et aux styles très éloignés, vont devoir surmonter pour travailler ensemble.
Une chose les réunira : l’esprit PJ et ce sentiment d’appartenir à une même famille.

    

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Prochainement adapté au cinéma.

Editions Jigal, 2015

Dany et Guy, deux flics de la police judiciaire israélienne, enquêtent avec le Shabak – la sécurité nationale – sur le massacre d’une famille de colons juifs installée en Cisjordanie à proximité de Naplouse. De son côté, Maïssa, flic palestinienne, fille d’un ancien compagnon d’armes d’Arafat, mène elle aussi, avec obstination, ses propres investigations. Très vite et bien que le doute subsiste, un groupe de jeunes Palestiniens est mis en cause et accusé de ce crime sordide. Mais parallèlement, après la découverte d’un arrivage massif de drogue de synthèse à Nice, à Jérusalem et dans les Territoires, Gabin, flic français des stups, est envoyé sur place pour démanteler un possible trafic international issu d’un camp de réfugiés. Allant de surprise en surprise, c’est sous pression permanente et dans un climat délétère que flics israéliens, palestiniens et français vont devoir unir leurs forces pour combattre ce réseau mafieux…

Pierre Pouchairet, ex-flic, a œuvré dans tous les coins chauds du globe. Il nous offre ici un roman style « caméra à l’épaule » époustouflant ! Parfois la frontière entre le réel et la fiction est si ténue qu’on peut se demander où elle commence et surtout quand et comment ces histoires tragiques vont cesser… Et alors que les médias nous abreuvent en permanence d’insupportables images de guerre en « direct live », Pierre Pouchairet vient avec ce terrible roman apporter sa connaissance du terrain ! Et de la première à la dernière ligne – ça ne fait aucun doute –, ça sent le vécu : Pierre Pouchairet a foulé ces routes poussiéreuses, a senti ces odeurs de pneus brûlés, a entendu ces déflagrations, ces cris, ces pleurs… Fin connaisseur – pour raisons professionnelles – du Moyen-Orient, de ses enjeux, de ses pouvoirs, de ses trahisons, mais aussi des rêves et des espoirs au quotidien d’une population vivant perpétuellement dans le chaos, Pierre Pouchairet nourrit son intrigue d’indices, de causes et de raisons – bonnes ou mauvaises –, de tous ces éléments – l’Histoire et son cortège de haine, d’incompréhension, de vengeance, de mort, de peur – qui font de cette région, et depuis tant d’années, cette poudrière toujours proche du point de rupture… C’est tragique, édifiant, injuste, sanglant… On a du mal à comprendre, à y croire… Mais quel roman !

 

Pierre Pouchairet est ancien commandant de la police nationale. Avec son quatrième roman, Mortels Trafics, publié en 2016, il est lauréat du prix du Quai des Orfèvres 2017.

Né en 1957 ; après une jeunesse dans le Berry, Pierre Pouchairet a intégré l’école des inspecteurs de police de Cannes Écluse en 1980.

La PJ :
Il a été affecté de 1981 à 1987 au sein de la brigade criminelle de la Police Judiciaire de Versailles.

En 1987, il intègre l’antenne de Nice de la Police Judiciaire de Marseille. Il y reste jusqu’en 1998 comme chef d’un groupe chargé de la lutte contre le trafic de drogue. Cette époque est celle qui a le plus marqué sa vie professionnelle.

En 1998, il devient officier de liaison de l’Office des Stups à Beyrouth, puis en 2001 à Ankara.

En 2004, de retour en France, Pierre Pouchairet passe commandant et devient chef de la section criminelle de l’antenne de Grenoble.

En mars 2006, il est appelé par la Direction de la Coopération Internationale pour représenter la police française en tant qu’Attaché de sécurité intérieure en Afghanistan, puis au Kazakhstan à partir de 2010.

En 2012, ayant la possibilité de solliciter sa mise en retraite il demande à bénéficier de ses droits pour rejoindre sa femme en poste à Naplouse en Cisjordanie.

Écrivain en Palestine.

C’est en retraite, qu’il se consacre à l’écriture, d’abord Des Flics français à Kaboul (Editions La boîte à Pandore), dans lequel il relate son temps passé en Afghanistan.

Puis un premier polar très autobiographique Coke d’Azur (Editions Ovadia, épuisé). Cela lui donne envie de poursuivre sur cette voie.

Il signe chez Jigal un premier roman : Une terre pas si sainte dont l’action se passe en grande partie en Palestine occupée, puis La Filière afghane où il fait une part belle à ses souvenirs afghans. Des écrits où réalité et fiction s’entremêlent.

Un troisième livre : A l’ombre des patriarches, poursuite des aventures de Maïssa, policière palestinienne et de Guy et Dany, flics israéliens, suivra en février 2015.

Retour en France.

Depuis septembre 2015, c’est entre la rénovation d’une maison en Bretagne et les divers salons où il est invité qu’il a trouvé le temps d’écrire le Prix du Quai des Orfèvres 2017 : Mortels trafics

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